En dix ans, près de 1 500 hectares de terres agricoles – l’équivalent de 2 000 terrains de foot – ont disparu sur le territoire de la MEL : une « irrésistible bétonisation » pour répondre aux appétits du monde économique, au nom de l’attractivité du territoire, carrefour européen. Les années précédentes des hectares avaient déjà été sacrifiés au nom de l’étalement urbain pour répondre aux demandes de logements pavillonnaires à proximité de la ville centre.

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